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編號:111003171
書名:LA CONSOLANTE
作者:GAVALDA ANNA
出版社:LE DILETTANTE
ISBN:2842631528
條碼:9782842631529
出版年:2008
商品形式:Broch
尺寸:141 x 206 x 38
重量:675
頁數:
台幣定價:1,500
Precommande 開放預購中 會員價:1,500 元 數量: 加入購物車

 

Resume

Pendant presque trois ans (mille quatre-vingt-quinze jours), j’ai vecu dans la tete,
et le corps, d’un homme qui s’appelle Charles.
Charles Balanda. (Parce que le matin ou je me suis dit ? Allez... J’y vais. Je
commence aujourd’hui ?, nous etions en aout 2006 et qu’avant de monter dans ma
soupente, j’avais (pour gagner du temps !) feuillete le journal. On y faisait part du
deces d’un homme qui portait ce nom et j’aimais cette idee, de contrarier un peu les
Parques... (A ce moment-la, j’ignorais tout de ce Charles (ce qui m’amuse dans
l’ecriture, c’est de me lire evidemment) et ne savais pas qu’il aurait une peur panique
des chevaux, (j’etais loin d’imaginer qu’il en croiserait...), or il se trouve que Balanda
(cela je le savais, Galoubet etc.) est un nom celebre dans le milieu hippique. Bah...
Nobody’s perfect...) (Beaucoup de parentheses et un(e) priere d’inserer qui part deja
dans tous les sens, tant pis pour l’editeur...))
Au debut de l’histoire, ce Charles, mon Charles, 47 ans, apprend la mort de la
mere d’un de ses amis d’enfance et perd completement les ped... les etriers. Comme
c’est un garcon cartesien (architecte et ingenieur), il prend sur lui et fait de grands
efforts pour se remettre en selle. En vain.
Bien des chapitres plus tard, sa s?ur, inquiete, lui demandera :
- He… Tu ne serais pas en train de nous preparer une petite crise de la cinquantaine, toi ?
La midlife crisis, comme ils disent…
- Tu crois ?
- Mais ca m’en a tout l’air…
- Quelle horreur. J’aurais aime etre plus original… Je crois que je me decois un peu,
reussit-il a plaisanter.

Non, Charles, je vous rassure. Ce n’est pas ca. Enfin, ce n’est pas ce que j’ai
voulu... Je n’aurai pas le culot d’affirmer que vous etes, que nous sommes tous les
deux, ? plus originaux ?, mais la crise de la cinquantaine n’etait pas du tout mon
propos.
Ce que je voulais, c’etait vous choper un matin a la descente d’un avion, vous
tabasser, vous rouer de coups jusqu’a ce que vous soyez a terre, et vous le serez,
souvenez-vous, sur le boulevard de Port-Royal, a terre et couvert de sang, pour
ensuite vous aider a vous relever en vous tendant... d’autres renes...
Voila qui n’est pas tellement plus original, je le concede, mais ce qui ? bouge
encore ? a l’heure de ma priere, ce sont les deux femmes qui encadrent votre chute.
Celle qui vous a desarconne, qui s’appelle Anouk, qui etait tres gaie, mais qui
donne a ce texte un petit gout triste et amer.
Et l’autre, her name is Kate, qui va vous aider a virer les eperons, et qui –en nous
racontant des choses affreuses, en nous prenant a la gorge le temps de sa confession–
changera la lumiere.
La lumiere, le ton, l’ecriture, et meme la typographie de cette histoire.
Tout devient plus leger, plus souple, plus... incline.
Donc vous voyez, c’est vous qui m’avez obsedee, mais ce n’est pas vous le heros.
Ce sont elles. Vous etiez la pour les servir. Et si nous les avons tant aimees, vous et
moi, c’est parce qu’elles sont, chacune a leur maniere, absolues, absolument genereuses.
Encore des bons sentiments, on va dire...
Oui. Pardon. A defaut de faire de la bonne litterature, les gens genereux font de
beaux personnages. Je dis pardon mais n’en pense rien. A la page 478, Kate m’a deja
graciee :
? ... il ne faut pas croire a la bonte des gens genereux. En realite ce sont les plus
egoistes... ?

Et puis il y a les enfants aussi...
Je voulais un livre avec des enfants qui soient vivants a l’interieur.
Et la, ce mercredi 6 fevrier 2008, a l’heure ou je m’insere comme je peux en
comptant mes abattis, je me souviens qu’ils y sont, ces enfants, et, rien que pour eux,
je suis bien heureuse de l’avoir ecrit...
Deux femmes, un homme qui va boitillant de l’une a l’autre et plein de gamins
tout autour.
Voila pour La Consolante.
A.G.

Humour, ironie, poesie, emotion, sentiments,.. Anna Gavalda nous chante et nous enchante la vie.
La Revue de l'infirmiere,
mai 2008.


Genereux, contemporain, vivant, ce nouveau roman nous raconte l'histoire de Charles, qui mene une existence survoltee jusqu'au jour ou il apprend la mort de la mere de son meilleur ami... Du pur Gavalda, avec personnages forts, situations emouvantes et lecon de vie a la cle.
Eliane Girard, Prima, juin 2008.

Vous attendez de la litterature qu’elle vous emporte dans un torrent d’emotions. Qu’elle efface votre quotidien. Qu’elle vous apporte des amis. Qu’elle vous fasse pleurer sans prevenir. Lisez le Gavalda..
Violaine Gelly, Psychologies magazine, mai 2008.

Ce qui est certain, c’est qu’Anna Gavalda a un don, celui de creer des personnages qui nous ressemblent, des eclopes de la vie, des gens qui cherchent du sens a leur vie. Deux femmes et un homme, plus qu’attachants!
Force ouvriere,
avril 2008.

Un brin d’humour, une dose d’humanite et beaucoup de tendresse : le cocktail signe Anna Gavalda a fait ses preuves par le passe, et ne manque pas de fonctionner a nouveau. (...) Le lecteur retrouve ainsi avec plaisir l’inegalable talent d’Anna Gavalda a donner vie aux etres et a nous les faire aimer, au point de ne plus vouloir les quitter.
Julia Dubreuil, La Gazette du Nord-Pas-de-Calais, avril 2008.

On en parle aussi au Canada...

Charles a l'oeil, Anna Gavalda le style pour nous embarquer dans son tourbillon de la vie, triturant la langue selon les ambiances, les personnages.
Elle a meme dessine la couverture, des croquis pour construire un abri pour les oiseaux. Et tout est la, la quete du bonheur made in Gavalda, avoir un joli nid, bien a soi, pour abriter sa famille, ses amours, ses amis. La Consolante est notre abri.
Bernard Babkine, Marie-France, mai 2008.


Gavalda fait de nouveau des miracles. Elle vous scotche en moins de deux avec ses incises inimitables, son art de la mise en scene et de l'autoderision. Oui, c'est encore plein d'emotions et de bons sentiments. Et alors? Il carbure a quoi d'autre, le palpitant? Comme l'ecrit Gavalda a la fin de La consolante, ?tout est histoires?. Les siennes ne ressemblent qu'a elle. Et cette histoire-la, elle la livre avec une sincerite qui ne trompe pas.

Delphine Peras, Lire, avril 2008.

La Consolante est un livre touffu, tout fou, plein de trouvailles et de digressions, dans lequel les personnages, en attente d'un happy-end, consomment beaucoup d'alcool pour noyer leur chagrin et se font tout le mal qu'il faut pour ne pas etre bien. (...) Anna Gavalda est une redoutable conteuse, inventive et drole, qui prend plaisir a balader son lecteur ou a l'associer au recit.
Robert Sole, Le Monde des Livres, mars 2008.

Entre les personnages fusent des dialogues tendus et souvent droles. L’emotion s’installe et l’on s’attache a ce recit ou le temps du combat n’est plus. Les luttes ont ete menees, il n’y a pas de comptes a regler, d’adversaire a abattre. Ne subsiste que l’envie de vivre la vie pour le plaisir de la vivre sans tricher tout comme a la petanque on joue “la consolante”, derniere partie de fin de tournoi qui n’a d’autre enjeu que le plaisir de jouer.
Veronique Leblanc, Dernieres Nouvelles d’Alsace, mars 2008.

Anna Gavalda maitrise toujours son style inimitable, fait de dialogues vrais et d’apartes soudains qui ne se prennent pas au serieux.Son regard tendre et amuse nous fait croire en la vie. C’est le triomphe des bons sentiments, certes, mais cela nous change de la noirceur et du cynisme ambiants. Un roman dense et passionnant.
Le Pelerin
, avril 2008.
 

Ce recit est harmonieux, prenant. Anna Gavalda nous fait ressentir l’effroi, le bonheur et la frustration de ses personnages. Elle nous chamboule et nous fait chavirer de bonheur. Le lecteur ne fait plus qu’un avec le personnage. Anna Gavalda ne s’embarrasse pas de pronoms, elle va a l’essentiel! Tellement de choses a ecrire, tellement de sentiments et d’emotion a partager. Elle couche une nouvelle fois sur le papier une histoire narree avec delicatesse et poesie. Un roman que seule une femme pouvait ecrire.
Magali Vogel , France Soir,
mars 2008.

Le nouveau roman d’Anna Gavalda, La Consolante, est un roman qu’on lit avec delectation ; les personnages attachants sont empreints de cette humanite qu’elle sait si bien deployer. Un peu plus sombre que le precedent, Ensemble, c’est tout, ce dernier opus est un hymne au renouveau, a la seconde chance.
Alexandra Morardet,
Arte-Tv.com, mars 2008.

Car il faudrait etre de mauvaise foi ou de mauvaise humeur pour en disconvenir: Anna Gavalda sait y faire. C'est un ecrivain de charme, comme on dit une musique de charme. Elle saisit la vie dans le mouvement. Elle est au plus pres, au plus juste, des emotions simples. (..) En somme,
La Consolante est, redige par un homme detruit et lezarde, un joli traite d'architecture interieure. Ici comme partout les femmes soutiennent la charpente; ce sont des cariatides. Elles semblent invulnerables, et si consolantes.
Jerome Garcin, Le Nouvel Observateur, mars 2008.


A coups de scenes breves, a la Pialat, Gavalda disseque le malaise du male occidental en ce debut de siecle. Il est rare qu’une femme reussisse ce genre d’exploit. (...) La prose de Gavalda a quelque chose d’hypnotique, avec ces points de suspension, ces inventaires a la Prevert, cette manie pas sotte d’aligner les phrases sans sujet. Pour les digressions, elle est imbattable. (...) Quant au titre, il evoque cette partie (de cartes, de boules) qu’on fait pour rien, apres la revanche, apres la belle, pour le plaisir. C’est exactement ce que l’on ressent a la lecture de ce pave. Le bonheur, quoi.

Eric Neuhoff, Madame Figaro, mars 2008.

Ne pas perdre de temps. Rouler. Appuyer sur le champignon de l'histoire. Filer d'un personnage a l'autre. D'un carrefour au suivant. Laisser faire la vie dans ses destructions et ses reconstructions. Etre a la fois las et enthousiaste. Observateur et absent. Decale et en phase. Mais, toujours, se tenir dans la verite des choses. C'est ce qui va plaire dans
La Consolante. Gavalda sait raconter la vie sans fard mais en faire ce qu'elle est aussi tous les jours : un roman simple et complexe. Un roman mikado.
Pierre Vavasseur, Le Parisien, mars 2008.


Anna a des exigences, autant vis-a-vis de ses personnages que vis-a-vis de ses lecteurs avec lesquels elle instaure une incroyable complicite. Vous pouvez y aller,
La Consolante, c'est du bon Gavalda.
Sylvie Laine, L'Independant, mars 2008.


Bon sang ! Ca recommence  ! La derniere ligne atteinte, on baisse la garde. Impossible de vous en vouloir, tant ces pages respirent la sincerite, l'honnetete, l'envie de boire jusqu'a la lie l'espoir, l'amour et les soirees d'ete. Bravo, c'est tout.

Jennifer Lesieur, Metro, mars 2008.

Disons-le tout net,
La Consolante est un roman epatant, comme disait Sagan. Bouleversant, inattendu, rejouissant, acere, enorme! L'auteure s'y autorise toutes les libertes, prend a partie son lecteur, cajole un personnage secondaire qu'elle a a la bonne, pousse hors du roman un autre qui ne l'interesse plus, cavale, change de rythme, s'amuse, dialogue a batons rompus, et tient son lecteur en haleine tout au long de 640 pages. Et quand c'est fini, on se sent bien seul...
Olivia de Lamberterie, Elle, mars 2008.


Entre fuites, soupirs et symphonie fantastique,
La Consolante nous fait bondir le coeur et verser quelques larmes...
France Cavalie,
Tele7Jours
, mars 2008.

Roman de la maturite filtrant une observation remarquable sur la rupture de tous les liens familiaux et sociaux, autant qu’il indique les echappees d’une survie possible, La consolante en impose par la sante et la generosite de son approche des etres, ainsi que par la musicalite de sa narration et la theatralite de ses dialogues, son melange de gouaille a la Queneau et de melancolie plus grave, sa facon de retisser des accointances entre vieux et jeunes gamins, sa poesie et son humanite…

Jean-Louis Kuffer, 24h Lausanne, mars 2008.

Rire, larmes, angoisse, exasperation, suffocation… Anna Gavalda ecrit dans la pulpe des sensations. Les sentiments sont la palette de cette experte es detresses, es bonheurs. Ecriture directe, familiere, epidermique, un sens de la formule a contre-pied et l’humour toujours en embuscade : il y a un style Gavalda pour decrire les mouvements du c?ur ; un champ de vibrations particulier qui tient lieu de suspense.
Genevieve Welcomme, La Croix, mars 2008.

Avec La Consolante - un terme que les amateurs de petanque connaissent bien - la romanciere francaise la plus lue de ces dernieres annees reussit la prouesse de se renouveler sans ceder a la facilite. On dira, puisqu'il s'agit, comme personnage principal, d'un batisseur, que les fondations du livre ne paraissent guere etayees dans les premieres pages mais au fur et a mesure que l'histoire sort de terre, et que les pieces s'ajustent, une a une, on ne peut que saluer la virtuosite de l'artiste. Sur le croquis de couverture, signe de l'auteure, on apprend a construire une cabane a oiseaux, planche par planche. Le roman est ainsi fait : chacun, au fond, y cherche son nid et Charles Balanda, le coucou, finira par se poser.
Michel Vagner, L'Est Republicain, mars 2008.

A quoi sert la litterature? A vous embarquer comme un seul homme, a vous rendre (bizarrement) joyeux, a vous sentir plus vivant. Mission accomplie.
Marie Chaudey, La Vie, mars 2008.

Les livres d’Anna Gavalda sont comme des bulles de savon : on y voit le monde en miniature, tel qu’il est, mais avec ce filtre irise qui le rend supportable. (...) Bien troussee, joliment construite, La Consolante semble avoir ete ecrite pour decourager le malheur. On en redemande.
Laurence Haloche, Le Figaro Magazine, mars 2008.

En chacun de nous pleure un enfant qui espere etre pris par la main. Anna Gavalda lui donne le champ libre. Voila pourquoi on referme ce livre avec le sourire. La litterature n'est pas forcee de pretendre a plus.
Jeanne de Menibus, Le Journal du Dimanche, mars 2008.

? La consolante ?, c'est ce tournoi de petanque qui est propose a ceux qui sont elimines prematurement de la joute officielle. La parabole de Gavalda est evidente : meme gagnee par le desespoir, l'existence d'un etre humain ne se resume pas a une piece en un acte. Beaucoup des 2 millions de Francais qui liront La Consolante
fermeront ce livre en prononcant ce simple mot : ? Magnifique... ? Nous en faisons partie.
Albert Sebag, Le Point, mars 2008.

Cette fois encore, les doigts de fee d'Anna Gavalda ont cousu une belle histoire, saisissante de realisme - on vit au fil des pages penche sur l'epaule des personnages - et qui fait rever.
Le Figaro, fevrier 2008.

Le lecteur, meme reticent, ne peut qu'etre conquis par le satane talent d'Anna Gavalda, sa force de conviction, l'authentique empathie qui emane de son livre. Anna Gavalda est unique et tout le monde nous l'envie.
Jean-claude Perrier, Livres-Hebdo, fevrier 2008.

La bonne fe Gavalda - L'Expresse