-CALLIGRAMMES- DANS TOUS SES ETATS - EDITION CRITIQUE DU RECUEIL DE GUILLAUME APOLLINAIRE
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2008001280087
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117001745
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9782916608068
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«Calligrammes» dans tous ses états donne à voir toutes les étapes de la naissance du second grand recueil poétique d'Apollinaire, publié en 1918, l'année de sa mort. Environ quatre cents manuscrits et documents, dont la première maquette de Case d'armons, fabriquée sur le front en 1915, et l'édition originale, jamais encore reproduite, sont pour la première fois réunis ici. Accompagnés d'un appareil critique, destiné aux chercheurs, aux étudiants, aux enseignants, aux fervents d'Apollinaire, aux amoureux de la poésie, voire aux collectionneurs, ils constituent l'épopée d'un livre élaboré difficilement pendant la Grande Guerre. Solidaires de cette Histoire vécue par le poète-combattant, ils sont surtout un moment essentiel de l'histoire de l'art et de la poésie modernes. L'inventeur, en 1917, du mot «calligramme» a créé dès 1914, dans ses «poèmes formels», une poésie «spectaculaire», qui s'offre simultanément à la lecture et à la contemplation. Apollinaire nous propose dans Calligrammes, trop longtemps resté dans l'ombre d'Alcools, toutes sortes de fécondes métamorphoses poétiques dont l'héritage est loin d'être épuisé. Présentées et analysées par Claude Debon, les étapes de cette création mettent en lumière un exceptionnel champ d'expérimentations et de réussites poétiques.
Claude Debon, Professeur émérite à l'Université de la Sorbonne Nouvelle-Paris III, ancienne élève de l'École Normale Supérieure, a soutenu une thèse en 1978 sur «Guillaume Apollinaire de 1914 à 1918». Elle est l'auteur de plusieurs ouvrages et articles sur Apollinaire. Elle publie simultanément avec Peter Read Les Dessins de Guillaume Apollinaire aux Éditions Buchet-Chastel dans la collection «Les Cahiers Dessinés», dirigée par Frédéric Pajak.
ESSAIS - 1981-2002Ce recueil réunit une centaine d'essais et d'articles publiés par Salman Rushdie dans la presse britannique et américaine de 1981 à 2002 : critiques littéraires, articles très personnels sur la genèse des Versets sataniques et les années noires de la fatwa, chroniques d'actualité, autant d'écrits dans lesquels les thèmes de prédilection de l'auteur - l'exil, la religion, la censure - resurgissent comme un fil rouge au gré de ses lectures, de ses découvertes et de ses rencontres. Ces textes d'une grande vivacité offrent une fascinante immersion, sur une vingtaine d'années, dans la pensée éclectique d'un écrivain aussi drôle que perspicace.790/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2404291170001
LA PETITE MUSIQUE DU STYLE - PROUST ET SES SOURCES LITTERAIRESL'étude des sources de Marcel Proust et de son rapport à ses lectures permet de pénétrer au coeur du processus de la création proustienne. L'analyse de la genèse de son style, envisagée comme une question de vision et non de technique, ouvre une réflexion sur la poétique d'un nouveau genre de roman.
"LA LANGUE ANGLAISE N'EXISTE PAS" - C'EST DU FRANCAIS MAL PRONONCELangue officielle et commune de l'Angleterre médiévale durant plusieurs siècles, le français a pourvu l'anglais d'un vocabulaire immense et surtout crucial. Traversant la Manche avec Guillaume le Conquérant, il lui a offert le lexique de sa modernité. C'est grâce aux mots français du commerce et du droit, de la culture et de la pensée que l'anglais, cette langue insulaire, est devenu un idiome international. Les "anglicismes" que notre langue emprunte en témoignent. De challenge à vintage, de rave à glamour, après patch, tennis ou standard, de vieux mots français, qui ont équipé l'anglais, reviennent dans un emploi nouveau ; il serait de mise de se les réapproprier, pour le moins en les prononçant à la française. Avec érudition et humour, Bernard Cerquiglini inscrit la langue anglaise au patrimoine universel de la francophonie.430/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2403001905664
HITCHCOCK S'EST TROMPEIl est impossible de croire sérieusement, comme les deux héros du célèbre film d'Hitchcock Fenêtre sur cour, que leur voisin aurait tué sa femme, puis l'aurait découpée en morceaux devant les fenêtres ouvertes d'une trentaine d'appartements. Mais leur délire d'interprétation n'a pas pour seule conséquence de conduire à accuser un innocent. Il détourne l'attention d'un autre meurtre - bien réel celui-là - qui est commis devant les spectateurs à leur insu et mérite l'ouverture d'une enquête.990/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2403001904292