Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l'écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd'hui je sais aussi qu'elle illustre, comme tant d'autres familles, le pouvoir de destruction du verbe, et celui du silence. D. de V.
Il fallait oser pour s’attaquer à un sujet déjà investi par les plus grands écrivains : le livre de ma mère. Et, pourtant, D. de Vigan a apporté sa touche originale, en plus de son talent à maîtriser un récit. [...] Ce roman intrigue, hypnotise, bouleverse. Il interroge aussi. Mohammed Aïssaoui, Le Figaro littéraire.
Malédiction familiale en même temps que questionnement passionnant sur les rapports entre l’écriture et la vie, [un] livre éblouissant. Olivia de Lamberterie, Elle.
Prix du roman Fnac 2011 - Prix Renaudot des lycéens 2011 - Prix roman France Télévisions 2011 - Grand prix des lectrices de Elle 2012
MOI, LE GLORIEUX1,160/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2405001924300
LES ENFANTS ENDORMISAu tournant des années 1980, alors qu’une partie de la jeunesse sombre dans l’héroïne, un étrange syndrome fait son apparition dans les hôpitaux français et américains. Les Enfants endormis retrace cette double histoire, intime et collective. À travers un prisme inédit, Anthony Passeron rouvre les archives de la lutte contre le sida, entre roman familial et épopée scientifique.
Un grand roman sur l’oubli, porté par une langue précise et sobre. Lire Magazine littéraire.
Anthony Passeron frappe au plexus solaire. Le Figaro Magazine.
Un texte important, très maîtrisé et d’une immense pudeur. Les Inrockuptibles.470/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2405001923527