Voici le dictionnaire de ce que j'aime (à quelques oublis près). " " Nos amis italiens et espagnols (ils ne sont pas les seuls) ne font guère de distinction entre " roman noir " et " roman policier ". Mais comme en France, nous la faisons, en toute logique ce dictionnaire devrait ne comprendre que des entrées concernant le roman policier. Si vous en êtes d'accord, ce sera ma première licence : je parle d'un univers littéraire qui est le mien, on y trouvera aussi bien du " polar " que du " noir ". S'agissant d'un univers " littéraire ", il ne devrait y avoir ici que des livres. Ce sera ma seconde licence : incidemment, on y trouvera quelques films, quelques séries TV, quelques BD, des librairies, des blogs. Enfin, autant prévenir tout de suite : pour les définitions maîtrisées, les monographies exhaustives, les analyses thématiques, etc., le lecteur trouvera facilement d'excellents ouvrages (j'en cite quelques-uns, en fin de volume) qui correspondront à cette attente. C'est à un écrivain que l'éditeur a confié ce Dictionnaire amoureux. Je parlerai donc ici en lecteur et en romancier. Il y aura des oublis impardonnables, des injustices, des jugements contestables. C'est inévitable mais je ne fais que respecter le projet de cette collection : c'est le dictionnaire de ce que j'aime (à quelques oublis près). Lorsque je lis un Dictionnaire amoureux, rien ne me fait plus plaisir que de découvrir des choses que je sais déjà. C'est un peu comme pour le Nobel de littérature : le jour de la proclamation, quand il s'agit de quelqu'un dont je connais déjà le nom, j'ai l'impression d'être cultivé. J'espère que ce Dictionnaire amoureux réservera au lecteur quelques-unes de ces satisfactions mais aussi quelques surprises, quelques découvertes. Et l'envie de lire et de relire encore cette littérature majeure qui, quoiqu'on en dise, reste durablement marquée par le prosaïsme de ses origines. Alphabétique (de " s'abîmer " à " vouloir-saisir "), totalement subjectif (" on a rendu à ce discours sa personne fondamentale qui est le JE "), sans prétention à l'exhaustivité..., je crois que les Fragments d'un discours amoureux (1977) peut être considéré comme l'ancêtre des Dictionnaires amoureux. Puisqu'il correspond très exactement à mon projet, je reprends donc ici, à la lettre, l'exergue de Roland Barthes : C'est donc un amoureux qui parle et qui dit :
LA CHAMBRE DU FILS - UNE ENQUETE DE WILLIAM WISTINGBernhard Clausen, ancien ouvrier syndicaliste et ex-ministre travailliste, meurt soudainement d'une crise cardiaque. On découvre dans un chalet lui appartenant neuf cartons entassés dans une chambre, remplis de billets datant du début des années 2000 : l'équivalent de quatre-vingts millions de couronnes en euros, livres sterling et dollars. L'inspecteur Wisting est chargé par le procureur général de découvrir leur origine rapidement et discrètement. Son enquête prend un tour inquiétant quand remonte à la surface une lettre anonyme mettant en cause Clausen dans la disparition mystérieuse d'un jeune homme en 2003...550/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2404121116003
DE LA JALOUSIEAucun remède à la jalousie sinon le temps ou la vengeance, à chaud ou calculée. Autour de Phtonos, longue nouvelle démoniaque dont l'ambiguïté perverse aurait ravi Patricia Highsmith, six récits illustrent la jalousie meurtrière : du raffinement de la bourgeoise hitchcockienne aux atermoiements de l'auteur à succès installé à l'étranger ; de la pulsion primaire de l'éboueur bafoué à la résignation blessée d'une petite vendeuse issue de l'immigration ; de la préméditation froide du photographe d'art raté à la ruse d'un chauffeur de taxi humilié par sa femme.520/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2404121116002
LES MASQUES EPHEMERES« La trentième enquête du commissaire Brunetti est un véritable tour de force sur le crime organisé vénitien. »
ICI PARIS
Au Campo Santa Margherita, un étrange accident de bateau impliquant deux jeunes touristes américaines éveille les soupçons du commissaire Brunetti. Les deux hommes qui les ont déposées devant l’hôpital ont disparu. Pourquoi ? Pour Brunetti, cela cache forcément quelque chose. Sillonnant les canaux sombres de Venise, il est bien décidé à faire toute la lumière sur cette affaire.
Née dans le New Jersey, Donna Leon a vécu pendant plus de trente ans à Venise. Traduites en trente-cinq langues, les enquêtes du commissaire Brunetti ont séduit des millions de lecteurs. Toutes sont disponibles chez Points.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Gabriella Zimmermann470/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2404121116001
TROIS VIES PAR SEMAINEUn mort. Deux disparus. Trois femmes amoureuses Un mort Deux disparus Trois femmes amoureuses
Un corps est retrouvé dans la vallée de la Meuse, au cœur des Ardennes. Accident, suicide, meurtre ? La révélation de l'identité de la victime plonge la capitaine Katel Marelle dans la sidération. Renaud Duval menait-il... trois vies par semaine ? Trois femmes attendent son retour. Chacune revendique d'être son unique amour. Ensemble, elles vont tenter de percer l'énigme d'une impossible triple vie... Mais comme dans un théâtre d'illusions, des ombres rôdent, prêtes à se venger. Qui sait la vérité ? Qui manipule ? Qui tire les ficelles ?510/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2401291116001